

Les avantages de notre complément alimentaire de vitamine D3 :
✅ Vitamine D3 d'origine végétale, issue de lichen.
✅ Biodisponibilité et stabilité : cholécalciférol sur support huile de colza.
✅ Dosage précis : 5 gouttes quotidiennes pour 1000 UI de vitamine D.
✅ Convient aux végétaliens et végétariens.
✅ Laboratoire français : gage de qualité et de traçabilité.
✅ Format économique : flacon de 500 gouttes pour une cure de 100 jours (idéal en hiver).
La vitamine D, liposoluble et stockable dans les tissus adipeux, existe sous deux formes principales : la vitamine D2 (ergocalciférol), d'origine végétale, et la vitamine D3 (cholécalciférol), synthétisée par la peau sous l'action des rayons ultraviolets B (UVB) du soleil. On la trouve aussi en faible quantité dans certains aliments comme les poissons gras, les abats et le jaune d'œuf. Pour être active, la vitamine D doit subir des transformations, d'abord dans le foie, puis dans les reins.
La vitamine D est surtout connue pour son rôle crucial dans la santé osseuse. Elle favorise l'absorption et l'utilisation du calcium et du phosphore, minéraux essentiels à la solidité des os, et contribue au maintien d'une calcémie normale. Une carence peut entraîner des troubles osseux comme le rachitisme chez l'enfant et l'ostéomalacie chez l'adulte. Elle participe également au maintien d'une ossature, d'une fonction musculaire et d'une dentition normales.
Au-delà de la sphère osseuse, la vitamine D est impliquée dans d'autres fonctions vitales. Elle contribue au fonctionnement normal du système immunitaire, en modulant les réponses immunitaires, et participe au processus de division cellulaire, essentiel à la croissance et à la réparation des tissus.
Maintenir un taux optimal de vitamine D peut être un défi, surtout en cas d'exposition solaire limitée. La synthèse de vitamine D3 par la peau dépend des UVB, or, en France, l'ensoleillement hivernal est souvent insuffisant, et les vêtements couvrants limitent la production. Dans ce contexte, l'alimentation seule peut ne pas suffire. Une supplémentation, comme avec Super Vitamine D, peut alors s'avérer judicieuse.
Super Vitamine D se distingue par sa formulation à base d'huile de colza et sa vitamine D3 d'origine végétale, extraite du lichen. Ce choix n'est pas anodin. La vitamine D, étant liposoluble, voit sa biodisponibilité (son absorption par l'organisme) significativement améliorée lorsqu'elle est associée à des lipides (Grossmann & Tangpricha, 2010 ; Dawson-Hughes et al., 2015 ; Borel et al., 2015 ; Silva & Furlanetto, 2018). L'huile de colza, riche en acides gras, favorise la formation de micelles qui encapsulent la vitamine D et facilitent son passage à travers la paroi intestinale.
De plus, l'huile de colza protège la vitamine D de l'oxydation grâce à sa composition en acides gras et à la présence d'antioxydants naturels, préservant ainsi son intégrité et son efficacité.
L'extraction de la vitamine D3 à partir du lichen offre une alternative végétale et durable, convenant aux végétariens et aux végans. Cette source innovante permet de bénéficier de tous les avantages de la vitamine D3 sans recourir à des sources animales.
Opter pour Super Vitamine D, c'est donc choisir une formule optimisée pour une meilleure assimilation de la vitamine D, issue d'une source végétale et durable, et maximiser les bénéfices de votre supplémentation.
Souvent appelée "vitamine du soleil", la vitamine D est bien plus qu'un simple nutriment : elle est essentielle à notre santé osseuse et joue un rôle crucial dans de nombreux processus biologiques. Pourtant, la carence en vitamine D est un problème fréquent, y compris en France.
La vitamine D est une vitamine liposoluble essentielle à l'organisme. Elle est présente dans certains aliments, mais elle est surtout synthétisée par la peau lors de l'exposition aux rayons ultraviolets B (UVB) du soleil. Une supplémentation peut également être envisagée. La vitamine D existe sous deux formes principales : la vitamine D2 (ergocalciférol) est principalement d'origine végétale, tandis que la vitamine D3 (cholécalciférol) est la forme synthétisée par la peau et également présente dans les produits d'origine animale.
La vitamine D joue un rôle crucial dans le métabolisme du calcium et du phosphore, contribuant ainsi à la minéralisation osseuse. Elle est impliquée dans l'absorption intestinale du calcium et du phosphore, ainsi que dans leur réabsorption rénale (Ross et al., 2011). Une carence en vitamine D peut entraîner des troubles de la minéralisation osseuse, tels que le rachitisme chez l'enfant et l'ostéomalacie chez l'adulte (Holick, 2007).
Les apports nutritionnels de référence (ANR) pour la vitamine D ont été établis par l'Institute of Medicine (IOM) en 2011. Ces apports varient en fonction de l'âge, du sexe et de la situation physiologique (Ross et al., 2011). Ils sont exprimés en microgrammes (µg) ou en unités internationales (UI), sachant que 1 µg équivaut à 40 UI. Selon ces recommandations, basées sur une exposition solaire minimale, les ANR sont de 15 µg (600 UI) par jour pour la plupart des adultes, y compris les femmes enceintes ou allaitantes, et de 20 µg (800 UI) par jour pour les personnes de plus de 70 ans. Pour les nourrissons, l'ANR est de 10 µg (400 UI). L'IOM a également défini une limite supérieure de sécurité (UL) de 100 µg (4000 UI) par jour pour les personnes de 9 ans et plus.
En ce qui concerne l'Union Européenne, l'Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA) a également publié des recommandations sur les apports en vitamine D. En 2016, l'EFSA a établi un apport adéquat (AA) de 15 µg (600 UI) par jour pour les adultes, y compris les femmes enceintes et allaitantes, et de 10 µg (400 UI) pour les enfants âgés de 1 à 17 ans. Pour les nourrissons de 7 à 11 mois, un AA de 10 µg (400 UI) a été défini. L'EFSA a également confirmé la limite supérieure de sécurité (UL) de 100 µg (4000 UI) par jour pour les adultes, et a établi des UL spécifiques pour les enfants : 25 µg (1000 UI) pour les nourrissons jusqu'à 6 mois, 35 µg (1400 UI) pour les nourrissons de 6 à 12 mois, et 50 µg (2000 UI) pour les enfants de 1 à 10 ans.
Plusieurs facteurs peuvent augmenter le risque de carence en vitamine D :
La France métropolitaine est située à des latitudes où l'angle d'incidence des rayons UVB est faible pendant les mois d'hiver. La capacité de la peau à synthétiser la vitamine D est donc considérablement réduite durant cette période, même lors d'une exposition au soleil. Il apparaît donc que la synthèse de vitamine D peut être compromise durant la période hivernale.
L'étude SUVIMAX (Supplémentation en Vitamines et Minéraux Antioxydants), une large étude française randomisée et contrôlée contre placebo, a évalué l'effet d'une supplémentation en vitamines et minéraux antioxydants sur la santé. Bien que l'objectif principal ne concernait pas la vitamine D, les données recueillies ont révélé une prévalence élevée d'insuffisance en vitamine D dans la population française, en particulier pendant l'hiver. Cette étude a inclus plus de 13 000 participants suivis pendant 7,5 ans (Hercberg et al., 2004). L'insuffisance d'ensoleillement hivernal a été avancée comme l'une des explications possibles à ces taux bas de vitamine D.
L'étude ESTEBAN (Étude de Santé sur l'Environnement, la Biosurveillance, l'Activité physique et la Nutrition), conduite par Santé publique France entre 2014 et 2016, a également permis d'étudier le statut en vitamine D de la population française (adultes et enfants). Les résultats, publiés en 2019, ont confirmé que la carence en vitamine D est fréquente en France. Ils ont montré qu'environ 80% des adultes présentaient une insuffisance en vitamine D (<30 ng/mL) et que 6,5% présentaient une carence (<10 ng/mL). De plus, l'étude a mis en évidence des variations saisonnières, avec des taux de vitamine D plus bas en hiver et au printemps.
Des études de modélisation mathématique ont également été menées pour estimer la production de vitamine D en fonction de la latitude, de la saison et de l'exposition solaire. Cashman et al. (2008) ont développé un modèle pour estimer les besoins en vitamine D chez des adultes en bonne santé. Leurs résultats indiquent que, sans exposition au soleil, un apport alimentaire d'environ 8,5 µg/j (340 UI) serait nécessaire pour maintenir un taux sérique de 25(OH)D supérieur à 25 nmol/L chez 97,5% de la population. Dans une étude ultérieure, Cashman et al. (2009) ont appliqué un modèle similaire à une population d'adultes âgés de 64 ans et plus. Ils ont conclu qu'en l'absence d'exposition solaire, un apport de 17,7 µg/j (708 UI) serait requis pour que la majorité de ces individus maintiennent un taux de 25(OH)D supérieur à 25 nmol/L. Ces deux études soulignent l'importance de la vitamine D alimentaire, surtout en l'absence d'exposition solaire suffisante, comme c'est le cas en hiver aux latitudes tempérées.
Une méta-analyse publiée en 2005 a examiné l'effet de la supplémentation en vitamine D sur le risque de fractures (Bischoff-Ferrari et al., 2005). Les résultats ont suggéré un effet bénéfique de la vitamine D, associée au calcium, sur la réduction du risque de fractures non vertébrales, en particulier chez les personnes âgées. Toutefois, l'effet de la vitamine D seule (sans calcium) sur la prévention des fractures est moins clair.
En conclusion, la vitamine D est indispensable au maintien d'une ossature normale. Un statut adéquat en vitamine D est important, et une supplémentation, particulièrement lorsqu'elle est combinée au calcium, peut être envisagée en cas de carence avérée ou de risque accru de fracture, en respectant les apports nutritionnels de référence. Des recherches sont en cours pour explorer les rôles potentiels de la vitamine D dans d'autres domaines que la santé osseuse, comme l'immunité et la prévention de certaines maladies chroniques.
Pour 5 gouttes par jour (170 mg) :
Quantité | % VNR* | |
---|---|---|
Vitamine D3 | 25 µg (1000 UI) | 500% |
*VNR : Valeurs Nutritionnelles de Référence
Ingrédients : huile de colza (Brassica napus L.), huile de coco fractionnée, cholécalciférol (vitamine D3 issue de lichen Cladonia rangiferina), antioxydant : extraits d'origine naturelle riches en tocophérols (E306).
Flacon de 541 gouttes de 34 mg (200 UI de vitamine D3 par goutte).
Prendre 5 gouttes par jour au réveil. Verser les gouttes directement dans une cuillère pour un dosage précis.
Durée de la cure : 108 jours par flacon.
Les femmes enceintes et allaitantes doivent consulter un professionnel de santé avant toute supplémentation. Ce complément alimentaire ne se substitue pas à une alimentation variée et équilibrée, ni à un mode de vie sain. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée. Tenir hors de portée des enfants. Conserver dans un endroit frais et sec, à une température inférieure à 20°C.
Basé sur 15
avis
Super produit et pas cher pour une bonne cure.
Léger goût de tournesol. La bouteille pourrait être améliorée, il y a toujours une goutte qui tombe en plus ou qui coule le long de la bouteille.
Parfait
Parfait
Digne d'une pharmacie
Très facile à prendre, pas de goût désagréable
bien
Apport de vitamines D de qualité, on en manque toute l'année
Merci
Super